Mon scoop it, ma petite revue de presse

presse  J’aime bien lire la presse…

 Non que je pense y trouver systématiquement source sûre d’information mais     cependant, la presse est vaste, riche, diversifiée, illustrée, elle reflète le monde, elle peut être complaisante ou subversive et j’aime ça.

Évidemment, lire les journaux demande un certain temps, non pardon, un temps certain et pilonnés que nous sommes entre le travail, la famille, l’intendance, la rêvasserie (indispensable), les loisirs (et oui ça compte) et tout le bla bla, à quel endroit capturer le temps :-/ ?

Encore que je ne te parle là que de papier (avec version online indeed). Reste à profusion la web presse, certainement tout aussi dense voire plus.

Et puis la presse coute cher… et prend de la place ; impossible (ou difficile) d’acheter chaque numéro incluant un article potentiellement intéressant.

          

 Ainsi Papillon, heureux de l’existence des nouvelles trouvailles digitalo-technologiques, a fomenté sa petite méthode pour lire à sa convenance ce qui lui plait, et pour cela, un seul outil : mon scoop it. J’y fais ma petite curation quotidienne, en butinant de-ci delà au gré d’un titre ou d’un thème, d’un journal ou d’un autre (j’ai mes chouchoux 😉 )

 Scoop it est une plateforme en ligne de curation de contenu. Créée en 2010, elle s’adressait d’abord et essentiellement aux professionnels avant de rapidement se  démocratiser.

Scoop it est un média social, qui te permet de construire ton propre « journal », composé d’articles (tweets, billets blog, etc.) sélectionés par toi-même ;-), et de le partager sur le net.

Son fonctionnement est simple : après avoir créé ton compte, tu insères des catégories (topics) selon les thèmes qui te sont chers (5 topics pour la version gratuite/ free).

A partir de la là, tu n’as plus qu’à remplir tes cases selon ce qui retient ton attention.

Comment j’utilise Scoop it : je butine toute la journée ça et là sur le net et j’y pioche des articles que j’ai envie de lire. Je les scoope vers le topic adéquat. Dès lors, ils sont dans la boite, chacun peut s’en saisir et moi,  je n’ai plus qu’à y revenir le soir, avec tout le temps qu’il me faut.

Bien sûr, autant que tu partages, tu reçois grâce aux mots clés que tu auras pris soin d’insérer et qui te donneront accès à la lecture de tes « pending notifications » (une sélection d’articles sélectionnés par la plateforme selon les mots clés que tu auras intégrés). Le flux d’information est quasi ininterrompu et selon les derniers chiffres, ce media a généré plus de 75 millions de visiteurs uniques !

Parmi moult autres, j’ai repéré ce tutoriel dédié ; clique ICI si tu penses qu’il peut t’être utile ;-);

A bientôt (sur Scoop it 🙂 )

2 mois de blogging, premier bilan de santé

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Crédit photo

🙂 aujourd’hui, LE PAPILLON QUI VOLE fête ses 2 mois 🙂

Comment se porte-t-il ?

… Voyons voir …

Il y a 2 raisons très étroitement corrélées à la naissance du Papillon 

  • J’avais très envie de bloguer
  • A ce moment, mes missions professionnelles ont été ré-orientées (communication numérique/ réseaux sociaux).

Le papillon qui vole a publié son premier article le 12 décembre.

Cétait excitant 🙂 !…

…. et assez flippant parce que je ne maîtrisais rien du fonctionnement d’un logiciel de gestion de données tel que WordPress…..

J’avais une ligne et quelques objectifs. Ma ligne n’a globalement pas dévié, mes objectifs simples de publication de 2 billets/ semaine ont évolué vers un billet/ jour (ou 2 quelquefois). C’est plus fluide. Le papillon n’aborde pas un thème spécifique, pour lequel une parution moins fréquente serait probablement plus en accord avec les contraintes (recherche, rédaction, etc). Je pressens que les objectifs tendent à se déplacer, à s’étoffer au fil du temps.

Un billet chaque jour m’oblige à un minimum de concentration, me pousse à chercher l’inspiration (dans l’observation souvent) et à conserver un usage fréquent du logiciel et ainsi me familiariser avec son fonctionnement :-).

Je n’avais pas d’objectifs de fréquentation. Je crois que j’avance très doucement mais comme le blogging n’est pas ma source de revenus, je n’en ressens pas une angoisse majeure. Cela dit, voir la courbe monter est divinement jouissif 🙂 !

Je consacre concrètement et grosso modo 2h/ jour au Papillon. Cela ne  tient pas compte du temps de la réflexion ni de l’imprégnation 🙂 

Je comprends désormais ce que revêt l’expression Être blogueuse. Etre blogueuse, c’est une posture très particulière qui n’empêche pas de vivre, ne ralentit rien mais investit à peu près 100 % de ton espace mental. Du coup, tu peux aussi compter sur ton inconscient, le solliciter pour participer à l’inspiration 🙂 

Je ne suis pas en mesure de dire où cela va me conduire. Le papillon n’est pas programmé pour l’obsolescence. Nous butinons ensemble 🙂 Serons-nous repus un jour ? Nul ne peut préjuger. La route est longue et pavée de rebondissements 🙂

Ce qu’il faut que tu saches si tu entres en blogosphère

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Évidemment, je ne vais pas me la jouer pro, parce que je suis une blogueuse débutante, et que je commets encore environ mille erreurs à la seconde. De ma position, j’ai néanmoins repéré quelques fondamentaux.

Je te les propose, dans un ordre d’importance aléatoire 🙂

Première chose, mine de rien, tu vas y passer du temps. Un sacré bout de temps même ! C’est mieux d’en avoir conscience 🙂

Deuxième chose, même simple d’utilisation, un logiciel nouveau te fait parfois fumer, le bougre !!!

Troisième chose, il arrivera que bloguer accentue ton sentiment de nullité….. Tu mets tout ton cœur à l’ouvrage, tu te concentres, tu es même de temps à autre pudiquement satisfaite de ta petite oeuvre…. et ton audience stagne à 20 visites/ jours. Bah quoi c’est déjà pas mal non 🙂 ?

Quatrième chose, j’espère que tu aimes le piment et le défi parce que ça fait ça aussi, bloguer. Tu es au défi de trouver chaque jour l’inspiration (mais ne t’inquiète pas pour ça) et tu découvres tellement de trucs que parfois ça pique !

Cinquième chose, tu es prête à t’amuser et à prendre du plaisir ? C’est ce qui va arriver. C’est très chouette de bloguer 🙂

Sixième chose, il va falloir libérer de l’espace dans ton cerveau, parce que ton blog tend à vouloir prendre toute la place (conscient + inconscient). Attention, y’a des blog addicts (et probablement des thérapies pour décrocher 🙂

Septième chose, si tu commences tu continues, donc le mieux pour ne pas chambouler le reste de ta vie, c’est que tu t’organises et que tu dédies un temps à l’alimentation et à l’administration de ton blog. Ca te sera utile 🙂

Huitième chose, nous avons beaucoup de chance de vivre dans ce temps. Notre époque est (aussi) numérique. Elle nous offre sur un écrin la possibilité de dire et de partager avec cette aisance singulière à la transmission via le virtuel. Ce n’est pas rien. J’aime savoir que j’en fais usage, j’aime participer à ce mouvement 🙂

Neuvième chose, simplement nous avons la chance de pouvoir dire par l’écrit et comme ça va toujours mieux en le disant, c’est tout bénef 🙂 D’autant que l’écrit pondère bien souvent ce que nous aurions peut-être exprimé avec trop de véhémence à l’oral, écrire oblige à un minimum de méthode et d’organisation de la pensée. C’est souvent nettement plus efficient.

Une dernière chose, et pas la moindre, quand tu blogues tu es seul maître à bord de ton propre journal. Tu es à la fois le rédacteur en chef, le journaliste, le contrôle de l’étique et de la qualité, tu développes seul ta stratégie de communication, tu es le boss du comité de rédaction, le secrétaire de rédaction, le diffuseur, le responsable commercial. T’es le patron alors fais gaffe à pas faire n’importe quoi. Ton blog c’est comme ta vie ou ta petite entreprise, tu te dois d’être courtoise (cf ici un billet sympa de Virgnie B à ce propos), tu es responsable de sa réputation

Je pense que je n’en ai pas fini de découvrir des fondamentaux tels que ceux-ci.

Je les partagerai avec bonheur avec toi 🙂

IRL comme dans le virtuel et tout va bien

blog papLe papillon qui vole est encore un enfant

Que dis-je… un bébé 🙂

Je n’ai encore que quelques followers (merci merci merci !) et reçois quelques heureuses visites chaque jour. Ceux qui me suivent savent déjà que j’aime voyager. Je suis  nomade dans l’âme et si ma raison adulte décidait de me quitter, je partirais illico passer le reste de mes jours à vadrouiller.

D’ailleurs, la seule chose que je possède et à laquelle je tienne, c’est ma roulotte 🙂

Je saisis la moindre occasion de bouger, ce qui me procure le bonheur et l’adrénaline dont j’ai besoin.

En voyage je croise des gens, on se rencontre, on échange et on partage de beaux moments. Il y a souvent de jolies découvertes, naissent ainsi des relations qui pour nous deviennent précieuses.

Pour la petite histoire, c’est la raison pour laquelle j’ai découvert puis aimé les réseaux sociaux, il y a plusieurs années.

Grâce à eux, j’ai pu facilement maintenir des liens proches et réels. Avec mes proches, je reste connectée lorsque je suis loin. Avec ceux qui sont loin, je reste proche au long cours.  On peut se voir, s’entendre, s’écrire avec une aisance qu’il y a moins de 20 ans, on aurait considérée comme délirante 🙂

Je n’aime pas qu’on diabolise l’internet ni le virtuel. Essentiellement parce que je trouve que c’est trop facile et totalement…… « stupide« …. C’est être aveugle et à côté de la plaque…. Diabolise-t-on les voitures parce que des milliers de gens meurent chaque année sur les routes ? Non…. La voiture comme le net sont des outils, faut pas faire n’importe quoi lorsqu’on les manipule.

IRL, je suis comme dans le virtuel, et versus 🙂

Je suis une vraie fan de l’internet pour la fabuleuse ouverture au monde que le web nous a offert. Je ne me suis pas transformée en humanoïde, mes boulons ne se sont pas dévissés, ma tête est toujours sur mes épaules et l’hôpital des fous n’est jamais venu me passer la camisole.

Le net, c’est comme la vie quand on s’en sert pour ce qu’il a de meilleur, pour ce qu’il apporte en simplicité et fluidité, quand on ne s’emporte pas à faire n’importe quoi.

J’aimerais bien avoir vos avis…

Le web Ange ou Démon 🙂 ?

bloguer pour qui, bloguer pour quoi

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Je fais partie des nouvelles blogueuses, des débutantes, de celles qui comptent (largement) moins de 200 abonnés et qui sont entrées dans la blogosphère à bas bruit. Pour rappel anecdotique, j’ai été mutée vers de nouvelles missions à l’automne. On me demande désormais de créer, de développer et d’animer la communication numérique d’une institution culturelle, dans le sud-est de la France.

Avant cela, je n’étais que lectrice de blogs, sur les réseaux sociaux je n’étais qu’un individu lambda, œuvrant pour son propre compte, discrètement. Je partageais sur Facebook quelques info que je trouvais pertinentes, j’alimentais avec quelques images que je trouvais belles, je postais quand, au bout du monde ou pas bien loin, je voulais partager avec mes proches quelques instants qui comptaient. Je ne bloguais pas, Pinterest, Scoop it ou Twitter restaient à distance.

Mais bloguer pour le compte d’une institution, d’une entreprise, ce n’est pas la même chose. Soudainement, la situation s’inversait. De l’extérieur, je passais à l’intérieur, j’entrais dans le ventre de la machine, j’œuvrais du dedans pour le compte d’un professionnel.

Inutile de raconter ici pourquoi il m’a fallu d’abord créer mon propre blog avant que ne paraisse le blog professionnel parce que ça n’a pas d’intérêt majeur. Toujours est-il que Le papillon qui vole a vu le jour 🙂

Alors bloguer pour qui, pour quoi ?

A cela, je suis désormais en mesure de répondre 🙂

On blogue pour des raisons professionnelles, on blogue dans l’intention de monétiser, et je, tu, il, nous bloguons parce que nous avons des choses à dire, parce que nous avons envie d’écrire, parce qu’entrer en blogosphère ressemble à entrer en religion comme on partage ou comme on se relie les uns aux autres.

Il faut être ce que l’on a envie d’être et nos blogs le disent. ON y parle de nos passions, de nos trouvailles, de nos enfants, de nos délices, de nos voyages, on y partage nos connaissances et nos savoirs. On évolue ainsi avec notre temps, avec ses technologies et techniques nouvelles, avec la marche naturelle du numérique qui n’a rien de diabolique. Il semble qu’une recherche Google sur deux aboutisse à une page blog, autrement dit nous sommes très nombreux à évoluer sur cette nouvelle plateforme. Bloguer prend du temps, alors il faut aimer cela. Bloguer signifie avoir l’esprit ouvert et curieux, aller à la rencontre  des autres, aimer dire et partager.

On blogue pour nous et les autres, on blogue pour aller de l’avant, parce que c’est follement passionnant et que le plus trépidant reste à venir 😉

voulez vous

Ma ligne…

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Crédit photo

Il est temps pour moi désormais d’évoquer – à voix haute et avec vous – la question de ma ligne…… éditoriale 😉

Cette question happe mon esprit chaque jour depuis des semaines. Il était grand temps que je m’en préoccupe et ce n’est pas si simple.

Je viens de mettre en place les catégories nécessaires à la bonne tenue de mon blog, histoire de ne pas tout jeter comme ça à la volée, hors toutes considérations d’organisation.

Chaque chose a sa place et le plaisir sera bien gardé 😉

 Cela bien sûr ne dit rien ou à peine de l’intention ni du contenu de mon blog.

Comment vous dire ? Je suis une curieuse de la vie.

Un papillon butine, me direz-vous ?

Oui, mais pour la bonne cause et pas seulement.

Il y a tellement de sujets dans tant de domaines qui à mes yeux méritent considération et partage. A chaque fois, ils ont en mon esprit déverrouillé une serrure récalcitrante, m’ont amusée, m’ont éclairée ou nourrie d’un savoir nouveau.

C’est cela que j’ai envie de partager avec vous.

 On fait avec ce que l’on est, avec qui l’on est, a fortiori lorsqu’il s’agit de bloguer.

Ma vie, c’est celle d’une fille du sud, pur produit de la génération X, qui bosse dans un métier qu’elle aime (c’est riche la communication !), est maman de 3 enfants (de 6 à 20 ans), aime la nature et voyager ; Je voudrais d’ailleurs que ma vie ne soit faite que de cela. Monter un jour dans un train et partir pour des Tours du monde, avec mes enfants.

N’en redescendre qu’au bout du voyage, je ne sais où ni quand.

Ce serait merveilleux !

Je parlerai donc avec vous de cette vie-là, faites de rêves et de réalités dans laquelle les deux peuvent se rejoindre. Je vous dirai les lieux que j’aime, mon goût pour la nature, pour les voyages, les tendances qui me touchent, mes humeurs et mes idé(aux)es. Régulièrement, je ferai un petit papier en lien avec l’art-thérapie parce que c’est un sujet qui m’intéresse.

Je publierai 2 fois par semaine, un rythme qui me semble réalisable, cohérent.

Mon écriture est certes imparfaite, et au-delà de ça, je manque encore de beaucoup de connaissance en matière de manipulation WordPress 😦

J’aimerais cependant que vous fassiez partie de l’aventure, avec bienveillance, parce que ça va souvent mieux en partageant.

Je vous dis A bientôt

Je blogue et c’est génial !

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A l’ouest rien de nouveau, puisqu’il existe des millions et des millions de blogueurs je le sais bien. Certains, véritables avant-gardistes ont déjà quelques belles années d’ancienneté (la sagesse est à mes yeux corrélée aux acquis du temps qui passe et j’aime les esprits sages), et influencent officiellement la planète. On les appelle les blogueurs influents, ils comptent une masse considérable de visiteurs avides de découvrir comme un rituel le nouveau post de leur(s) auteur(s) favori(s).

Qu’on le veuille ou pas (et oui, il existe encore de nombreux oncles Vania hurlant Back to the trees !), le blog est devenu un nouveau canal médiatique qui impacte désormais nos attitudes, nos comportements, notre manière d’être, nos achats, nos convictions, nos amours, nos intentions de votes aussi probablement, nos vies en somme.

Qu’il apporte un simple plaisir de lecture ou procure une apprentissage capital, un bon blog, c’est comme un moteur qui nous propulse dans une direction, qui fait bouger les choses, son auteur fait figure de leader d’opinion.

Je me suis donc laissée prendre au jeu. Je me suis documentée ci-et là, sur le net évidemment. Faut dire que je n’appartiens pas à la génération Y ou Z, celle qui babillait sur le portable de sa mère et pianotait avant même de savoir lire.

En catimini, à bas bruits d’abord comme si je n’osais pas, je suis donc entrée en terre inconnue. Timidement. C’est vrai après tout, qui suis-je, qu’ai-je donc à raconter – et surtout publier – qui n’ait été dit, vu, lu, qui puisse avoir un quelconque intérêt pour qui que ce soit ?

Puis soudainement, la vie m’a donné un coup de pouce, ou un coup de pied aux fesses. Alors que je tournais autour du pot en me disant « Allez, vas-y, ça a l’air trop bien cette circulation magique all over the word », ma directrice générale m’a proposée un nouveau poste. J’aurai désormais à bloguer pour le compte des affaires culturelles de la collectivité pour laquelle je travaille. Merveilleuse coïncidence n’est-ce pas ? J’ai accepté avec joie, sachant que dès lors je ne devrai plus me contenter d’être à distance. La vie est bien faite n’est-ce-pas ?

Parce que je crois qu’on n’arrête pas le temps et qu’il est vain de ne pas s’inscrire dans la marche du progrès, parce que je n’ai pas peur du web 2.0, je suis ravie d’entrer dans la blogosphère, j’en suis heureuse même. Je suis débutante certes, mais je vais faire de mon mieux.

Blogueurs débutants ou influents, Critiquez-moi, soutenez-moi, engueulez-moi peut-être, mais s’il vous plait, accompagnez-moi 🙂